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L'épopée d'un grand classique

Tempus fugit !

Tempus fugit !

Salut cher lecteur !

Ma course folle et des contingences de connexion m'ont amené à accumuler un certain retard ! J'espère que tu ne t'es pas inquiété ; si c'est le cas, sache que tout va bien, et que je suis sain et sauf à Halifax, après un périple d'une semaine à Terre Neuve.

Parlons en quelques lignes de Chicago, qui mérite un bien meilleur traitement. Plus compacte et plus propre que New York, l'ancienne cité des gangsters et du vice a gardé de cette période un goût pour la culture, la bonne bouffe et le jazz, auxquels on pourrait ajouter une architecture à couper le souffle, dont la présence en arrière-plan des Batman de Nolan lui confère, si besoin en était, une aura toute particulière.

J'ai donc beaucoup apprécié cette ville, ses pizzas à croûte fourrée au fromage pour deux qui sont vraiment pour deux (et pourtant, c'était le plus petit format !), ses clubs qui, pour n'être plus enfumés, n'en gardent pas moins un sacré cachet et sa bibliothèque, en face de l'endroit où je logeais, si ce n'est pas un pousse-au-crime !

Tempus fugit !
Tempus fugit !
Tempus fugit !

Il ne me reste qu'à communiquer les réponses aux deux dernières énigmes. L'avant-dernière tout d'abord : 1. Die Hard 3 (une journée en enfer) ; 2. Men in Black ; 3. The Bourne Ultimatum (la vengeance dans la peau) et 4. Avengers ... Et la dernière, qu'un seul parmi vous a décryptée (tout le monde se doute de qui il s'agit) : la réponse était ABBA (un indice, c'est trois fois le même peintre) ...

Je prends un peu de temps pour rédiger mon article sur Terre Neuve et répondre aux commentaires.

Le Grand Classique, over and out (prononcer oute, c'est le Canada) !

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